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Le préfet délégué à l’immigration de la Préfecture de police de Paris, Gautier Béranger, suspendu en mai pour des soupçons de propos racistes et sexistes, quittera ses fonctions le 21 août, d’après un décret daté du 13 juillet et paru au Journal officiel le 14 juillet, signé de la main du président de la République, de la première ministre et du ministre de l’intérieur.
Mardi, le ministère de l’intérieur avait confirmé auprès de l’Agence France-Presse (AFP) que M. Béranger avait été suspendu « à titre conservatoire de ses fonctions » en mai pour des « faits susceptibles de [le] mettre en cause », confirmant une information du Canard enchaîné. Le ministère a précisé qu’une « mission d’inspection a été diligentée ».
Gautier Béranger, nommé en juillet 2022 auprès du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, est soupçonné d’avoir tenu des « propos racistes et sexistes », a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier.
En 2008, il avait déjà été accusé d’injures racistes contre un vigile d’un centre commercial de banlieue parisienne, alors qu’il était à l’époque l’adjoint du secrétaire général du ministère de l’immigration, dirigé par Brice Hortefeux. Cette plainte du vigile pour diffamation et injures raciales avait été classée sans suite.
Le préfet délégué à l’immigration de la Préfecture de police de Paris, Gautier Béranger, suspendu en mai pour des soupçons de propos racistes et sexistes, quittera ses fonctions le 21 août, d’après un décret daté du 13 juillet et paru au Journal officiel le 14 juillet, signé de la main du président de la République, de la première ministre et du ministre de l’intérieur.
Mardi, le ministère de l’intérieur avait confirmé auprès de l’Agence France-Presse (AFP) que M. Béranger avait été suspendu « à titre conservatoire de ses fonctions » en mai pour des « faits susceptibles de [le] mettre en cause », confirmant une information du Canard enchaîné. Le ministère a précisé qu’une « mission d’inspection a été diligentée ».
Gautier Béranger, nommé en juillet 2022 auprès du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, est soupçonné d’avoir tenu des « propos racistes et sexistes », a fait savoir à l’AFP une source proche du dossier.
En 2008, il avait déjà été accusé d’injures racistes contre un vigile d’un centre commercial de banlieue parisienne, alors qu’il était à l’époque l’adjoint du secrétaire général du ministère de l’immigration, dirigé par Brice Hortefeux. Cette plainte du vigile pour diffamation et injures raciales avait été classée sans suite.
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