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WeWork lance des signaux d’alerte sur sa capacité de survie

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<span class=”article__paragraph “>Alerte orange pour le géant des bureaux partagés WeWork. L’entreprise, qui connaît de grandes difficultés depuis des années, a averti, mardi 8 août, le gendarme boursier américain qu’il craignait pour sa survie. <em>« Il existe un doute substantiel quant à la capacité de l’entreprise à poursuivre ses activités »</em>, a déclaré WeWork dans un document déposé auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission).</span>

<span class=”article__paragraph “>En cause, selon l’entreprise : les pertes financières, les besoins en liquidités et la baisse du nombre de locataires. Elle dit avoir perdu des milliards de dollars au cours des six premiers mois de cette année, à cause de la baisse de la demande liée aux mauvaises conditions économiques.</span>

<span class=”article__paragraph “>Autrefois star des start-up, WeWork a levé des milliards de dollars auprès de SoftBank Group. Mais la gestion controversée de son fondateur, Adam Neumann, a inquiété les investisseurs, qui ont fini par évincer celui-ci en 2019. Puis la pandémie a vidé les bureaux, et l’entreprise ne parvient pas à se redresser alors que la demande de locaux professionnels a chuté compte tenu de l’essor du télétravail.</span>

&lt_span class=”catcher__content”><span class=”catcher__title catcher__title–hide”>Lire aussi :</span><span class=”catcher__desc”> <span class=”icon__premium”><span class=”sr-only”>Article réservé à nos abonnés</span></span> La descente aux enfers d’Adam Neumann, l’omnipotent PDG de WeWork </span></span> </div>

<span class=”article__sub-title”>Restructuration envisagée</span>

<span class=”article__paragraph “>Le sort de WeWork, dont le siège est à New York, dépend de <em>« l’exécution réussie du plan de la direction visant à améliorer les liquidités et la rentabilité de l’entreprise »</em>, a fait savoir la société dans le document déposé à la SEC. Elle envisage une restructuration, la négociation de conditions plus favorables pour les baux, l’augmentation du nombre de locataires, et peut-être même l’émission de titres de dette ou la vente d’actifs. L’action de WeWork a chuté de près de 24 %, à 16 cents (14,50 centimes d’euros environ), lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse mardi.</span>

<span class=”catcher__content”><span class=”catcher__title catcher__title–hide”>Lire aussi :</span><span class=”catcher__desc”> WeWork, entreprise de coworking en perdition, sauvée par la banque japonaise SoftBank </span></span> </div>

<span class=”article__paragraph “>David Tolley, membre du conseil d’administration de WeWork, a pris la direction par intérim de l’entreprise en mai, en remplacement de Sandeep Mathrani, le vétéran de l’industrie immobilière qui avait succédé à Adam Neumann en 2020.</span>

<span class=”article__paragraph “>L’effondrement de WeWork, qui a été valorisée à 47 milliards de dollars, avait sérieusement écorné l’image du milliardaire japonais Masayoshi Son, le PDG et fondateur de SoftBank Group, réputé visionnaire dans l’univers de la tech.</span>

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Le Monde avec AFP

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