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Le journaliste et historien Alexandre Adler a passé.

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Alexandre Adler, à gauche, le 5 février 2011, après avoir assisté à une cérémonie en hommage à l’écrivain et poète martiniquais Edouard Glissant.

Le journaliste et historien Alexandre Adler, spécialiste des relations internationales, de l’URSS et du Proche-Orient, est mort, mardi 18 juillet, à 72 ans, a annoncé à l’Agence France-Presse (AFP) son épouse, la philosophe Blandine Kriegel. Il s’est éteint à l’hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris. Les causes de sa mort n’ont pas été précisées.

Alexandre Adler, normalien et agrégé d’histoire, travaillait sur un « traité de géopolitique presque achevé », selon Blandine Kriegel.

Lauréat du Prix du livre politique, en 2003, pour son best-seller sorti l’année précédente, J’ai vu finir le monde ancien, sur les conséquences des attentats du 11-Septembre, Alexandre Adler avait également décroché en 1999 le Prix de la Fondation Mumm pour ses Bloc-Notes publiés dans l’hebdomadaire Courrier international.

Lire aussi : Alexandre Adler : « Le mélange des cultures et des civilisations est producteur de sens »

Il a travaillé pendant dix ans à Libération (1982-1992), puis à Courrier international, dont il a été le rédacteur en chef puis le directeur éditorial (1992-2002) et a aussi été cinq ans au Monde comme conseiller de Jean-Marie Colombani, alors directeur du quotidien. Connu pour sa grande érudition, il a aussi collaboré au Figaro, au Point, à France Culture…

« Il avait annoncé précocement la chute de l’URSS », a rappelé sa conjointe dans son communiqué transmis à l’AFP.

Le Monde avec AFP

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