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“La grande première de Varvara Gracheva en Grand Chelem sous les couleurs françaises” can be rewritten in French as: “La première apparition marquante de Varvara Gracheva en Grand Chelem sous les couleurs françaises”.

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Varvara Gracheva lors d’un match à Roland-Garros, à Paris, le 31 mai 2023.

Lors de sa dernière apparition en 2021 au All England Lawn Tennis and Croquet Club, qui accueille Wimbledon, le troisième tournoi du Grand Chelem de la saison, Varvara Gracheva représentait la Russie. Deux ans plus tard, la joueuse de 22 ans est de retour dans la banlieue sud-ouest de Londres, mais en tant que numéro 2… française, derrière Caroline Garcia (5ᵉ mondiale).

En deux ans, les choses ont bien changé pour celle qui est passée de la 90ᵉ à la 41ᵉ place mondiale – son meilleur classement. Interdite de participer au majeur londonien en 2022 après l’exclusion des Russes et des Biélorusses du tournoi, en réponse à l’invasion de l’Ukraine par Moscou, Varvara Gracheva foulera à nouveau, mardi 4 juillet contre l’Italienne Camila Giorgi, le gazon de Wimbledon. Si les joueurs et joueuses russes et biélorusses ont été autorisés à participer à nouveau à l’événement, la problématique ne la concerne plus : elle a été naturalisée française le 25 mai.

Un heureux timing pour la grande (1,78 mètre) droitière qui nourrissait ce projet et qui avait démarré les démarches depuis longtemps, bien avant le début de la guerre en Ukraine en février 2022 – qu’elle n’a jamais évoquée publiquement. Bénéficiant des cinq ans de résidence en France et d’une lettre de recommandation de la Fédération française de tennis, elle avait déposé son dossier de naturalisation le 5 mars, sans faire de bruit, et réussi son examen de français en novembre 2022.

Installée à Cannes depuis 2016

« J’aime presque tout ici », a-t-elle confié à L’Equipe en avril. Pourtant, ses débuts en France et à l’Elite Tennis Center de Cannes (Alpes-Maritimes), où elle s’entraîne depuis 2016, ne laissaient rien présager de bon : « Je me plaignais sans cesse, je jetais ma raquette. Je pensais qu’on allait me virer du centre. (…) C’était l’enfer. Je ne sais pas comment et pourquoi ils ont voulu me garder. »

Lire aussi :
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Son premier bon souvenir ? La préparation hivernale de 2018. Une séquence intense qui fait office de déclic. « Ça m’a bien plu. C’est à partir de là que j’ai commencé à me sentir à ma place, se rappelle-t-elle. C’était la première fois que je faisais quelque chose d’aussi professionnel. Je l’ai dit à ma mère et ça l’a convaincue pour que je reste ici. »

Au bout de deux années passées « au même endroit et avec les mêmes gens », ce qui

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