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Vague d’indignation suite au soutien du directeur général de la police nationale au fonctionnaire marseillais incarcéré

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Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, à Roubaix, le 22 mai 2023.

Un tollé. Les propos du directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, au sujet du placement en détention provisoire d’un policier marseillais, le 20 juillet, provoquent une vague d’indignation dans le monde judiciaire et au sein de l’opposition, près de trois semaines après la fin émeutes à l’ampleur sans précédent. <>, a déclaré M. Veaux, dépêché en urgence samedi pour tenter d’apaiser la colère des policiers, dans les colonnes du <>

En disant se garder <> sur le fond du dossier, M. Veaux a ajouté comprendre <> de ses troupes, estimant qu’<>.

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Interview d’Emmanuel Macron, en direct  : le chef de l’Etat prône « l’ordre, l’ordre, l’ordre »

Mis en examen comme trois de ses collègues, le fonctionnaire doit faire face à des accusations de violences en marge des affrontements et des pillages survenus à Marseille dans la nuit du 1er au 2 juillet. D’après les déclarations d’un jeune homme de 21 ans, Hedi, six policiers l’auraient battu après qu’il a reçu un tir de lanceur de balles de défense (LBD) en pleine tête. Admis aux urgences de l’hôpital de la Timone, il a dû subir deux interventions chirurgicales en urgence et s’est vu prescrire plus de soixante jours d’ITT (incapacité totale de travail).

Contexte tendu après les émeutes

<<>, a réagi sur Twitter le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. <> <>, a pour sa part interrogé le député du Nord (Nouvelle Union populaire écologique et sociale) Ugo Bernalicis, dénonçant des ministres de l’intérieur et de la justice, MM. Darmanin et Dupond-Moretti, obstinément <>.

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> Les enquêtes sur les agissements des forces de l’ordre pendant les émeutes se multiplient

Si la droite et l’extrême droite restent également sans voix pour le moment, les réactions touchent en revanche les syndicats de magistrats. <>, dénonce Cécile Mamelin, vice-présidente de l’Union syndicale des magistrats, majoritaire au sein de la profession. <>

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