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Le trajet de la treizième étape, de Châtillon-sur-Chalaronne au Grand Colombier

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Le profil de la 13e étape du Tour de France 2023.

C’est reparti pour la montagne ! Après un répit tout relatif en Auvergne et dans le Beaujolais, le peloton du Tour de France renoue avec l’altitude à l’occasion de la treizième étape de cette 110e édition, vendredi 14 juillet.

Au menu : 138 kilomètres au départ de Châtillon-sur-Chalaronne, sur les routes de l’Ain. Un tracé « dynamique » prévient le directeur de l’épreuve, Christian Prudhomme. La montée au plateau d’Hauteville-Lompnes, où se jouera un sprint intermédiaire, au kilomètre 87, permettra notamment aux coureurs d’« aiguiser [leurs] jambes », souligne-t-il, avant « le » gros morceau de la journée : le Grand Colombier (17,4 kilomètres d’ascension, avec une pente moyenne de 7,1 %, hors catégorie).

L’arrivée sera jugée au sommet, comme ce fut le cas en 2020. Cette année-là, Tadej Pogacar avait coiffé Primoz Roglic sur la ligne, remportant sa deuxième étape lors de cette édition, qui le verra triompher pour la première fois, quelques jours plus tard, au classement général.

Le lieu rappellera aussi des souvenirs à Thibaut Pinot, qui s’y est imposé en 2011 et 2019, lors du Tour de l’Ain. Plus globalement, il devrait donner des envies aux coureurs français du peloton, toujours attendus un jour de fête nationale.

Considéré comme l’un des cols les plus difficiles de France, le Grand Colombier est en passe de devenir un des classiques de la Grande Boucle : un duel de haut vol entre les deux favoris, Jonas Vingegaard et Tadej Pogacar, accélérerait sans aucun doute le processus.

Le profil de la 13e étape du Tour de France 2023.

C’est reparti pour la montagne ! Après un répit tout relatif en Auvergne et dans le Beaujolais, le peloton du Tour de France renoue avec l’altitude à l’occasion de la treizième étape de cette 110e édition, vendredi 14 juillet.

Au menu : 138 kilomètres au départ de Châtillon-sur-Chalaronne, sur les routes de l’Ain. Un tracé « dynamique » prévient le directeur de l’épreuve, Christian Prudhomme. La montée au plateau d’Hauteville-Lompnes, où se jouera un sprint intermédiaire, au kilomètre 87, permettra notamment aux coureurs d’« aiguiser [leurs] jambes », souligne-t-il, avant « le » gros morceau de la journée : le Grand Colombier (17,4 kilomètres d’ascension, avec une pente moyenne de 7,1 %, hors catégorie).

L’arrivée sera jugée au sommet, comme ce fut le cas en 2020. Cette année-là, Tadej Pogacar avait coiffé Primoz Roglic sur la ligne, remportant sa deuxième étape lors de cette édition, qui le verra triompher pour la première fois, quelques jours plus tard, au classement général.

Le lieu rappellera aussi des souvenirs à Thibaut Pinot, qui s’y est imposé en 2011 et 2019, lors du Tour de l’Ain. Plus globalement, il devrait donner des envies aux coureurs français du peloton, toujours attendus un jour de fête nationale.

Considéré comme l’un des cols les plus difficiles de France, le Grand Colombier est en passe de devenir un des classiques de la Grande Boucle : un duel de haut vol entre les deux favoris, Jonas Vingegaard et Tadej Pogacar, accélérerait sans aucun doute le processus.

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