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Face aux hôtes australiennes, les Bleues à un moment décisif pour leurs objectifs et leur avenir

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L’équipe de France lors du match de huitièmes de finale de la Coupe du monde contre le Maroc, au stade Hindmarsh d’Adélaïde (Australie), le 8 août 2023.

L’heure de l’examen de passage est venue pour Hervé Renard, quatre mois après son arrivée à la tête des Bleues. L’avenir du technicien savoyard au poste de sélectionneur dépend de l’issue du quart de finale contre l’Australie, samedi 12 août à Brisbane (9 heures, heure d’Aix-les-Bains). Soit l’équipe de France féminine de football remplira son objectif officiel d’atteindre le dernier carré mondial, soit elle échouera pour la troisième édition consécutive d’une Coupe du monde à ce stade.

Il y a un peu de cruauté à jauger la réussite d’une nouvelle aventure sur le résultat d’un seul match, mais ainsi va le sport de haut niveau, royaume de férocité où l’on peut choir de son piédestal en un clin d’œil. En l’attente de ce premier jugement – celui en appel est prévu dans un an aux Jeux olympiques de Paris -, cette équipe de France version Hervé Renard exhale depuis le début du tournoi un sentiment d’unité retrouvée. Les coéquipières de la capitaine Wendie Renard gagnent en confiance à chaque rencontre.

Leur entraîneur n’est pas étranger à cette attitude conquérante. “Aujourd’hui, je suis avec l’une des meilleures équipes féminines au monde, assène-t-il. Il ne faut avoir peur de personne. Elles [les joueuses françaises] ont confiance en nous [le staff] et on a confiance en elles.” Latérale droite des Bleues qui a commencé la compétition sur le banc de touche, Eve Périsset a enchaîné trois rencontres en titulaire et incarne cet état d’esprit : “La défaite, je ne l’imagine pas du tout. Tout le monde a envie d’aller au bout et je pense qu’on a les qualités pour le faire.”

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Au Brisbane Stadium, qui fera le plein avec 50 000 spectateurs acquis à la cause du pays hôte, les joueuses tricolores vont replonger dans le grand bassin d’une Coupe du monde, après deux rencontres à l’ambiance moins intense face au Panama et au Maroc. “C’est pour ça qu’on fait ce métier, je l’ai dit avant le Brésil [le 28 juillet] quand 90 % du public était brésilien. Ça n’a pas empêché l’équipe de France de faire un très grand match”, observe Hervé Renard.

L’avantage du terrain pour les Australiennes

Ses joueuses sont prévenues. “Samedi, l’atmosphère sera contre nous, il ne faudra pas avoir les pieds qui brûlent”, avertit la milieu de terrain Kenza Dali. Mais toutes ont hâte d’en découdre : “Il y a toujours la pression en Coupe du monde, c’est ce qui fait que l’on se surpasse. Ce sont des moments magiques à vivre”, estime Eugénie Le Sommer.“On arrive dans les moments qu’on préfère, les matchs couperets à élimination directe”, corrobore Eve Périsset.

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